Foire aux questions

Les réponses aux questions que vous nous posez fréquemment, thème par thème

Formation d’équithérapeute

Séances
d’équithérapie

Sur le métier
d’équithérapeute

A propos de la formation d’équithérapeute

Nous ne pouvons pas vous répondre avant d’avoir votre dossier de candidature.
Les candidatures faisant l’objet d’un examen d’après dossier puis entretien, et certains profils étant peu typiques par rapport à la majorité des candidatures nous parvenant, nous ne pouvons pas nous prononcer par email, téléphone ou entretien sur l’admissibilité de votre dossier. La Commission chargée des admissions examine tous les dossiers complets qui lui sont transmis, et rend un avis motivé en cas de refus.

Les critères que nous cherchons à valider à travers les candidatures sont :
profil professionnel : le candidat doit être qualifié pour exercer le soin, la thérapie, l’action sociale ou plus globalement la relation d’aide (à titre professionnel, avec un niveau d’expertise correspondant à un niveau bac +2 minimum) ;
profil équestre : le candidat doit être autonome vis-à-vis du cheval (niveau galop 4 minimum constaté, ou expérience équestre régulière justifiée d’au moins 5 ans) ;
projet : le candidat doit présenter un projet en lien avec l’équithérapie, cohérent par rapport à son parcours et son profil, et cohérent avec les réalités de la filière.

Pour vous aider à vous positionner avant de décider de déposer ou non une candidature, nous vous invitons à consulter nos conditions d’admissibilité et rappelons que :
– les dossiers incomplets sont refusés sans être examinés, ni retournés ;
– nous ne pouvons vous laisser aucun espoir d’être déclaré admissible si vous ne remplissez manifestement pas au moins l’un des 3 critères d’admissibilité ;
– la Commission essaie de rapprocher tous les dossiers atypiques d’une des catégories de profil décrits dans ces conditions.

Il y a 2 solutions :
  • vous ne pouvez qu’envisager de devenir thérapeute pour exercer un soin médiatisé par le cheval : dans ce cas, nous ne pouvons que vous recommander de prendre le temps nécessaire pour vous permettre de remplir l’ensemble des prérequis. Ce qui peut vouloir dire : reprendre des études médico-sociales initiales, vous remettre à cheval, et/ou continuer à vous documenter pour développer un projet plus construit. Il n’existe malheureusement aucune formation d’équithérapeute qui n’ait pas un minimum de prérequis.
  • votre projet est avant tout de travailler au contact du cheval et d’un public en difficulté, peu importe qu’il s’agisse d’exercer un soin ou pas, ou de devenir thérapeute ou non : dans ce cas, pensez qu’il y a beaucoup d’autres activités en dehors de la thérapie ! Votre profil actuel vous rapproche peut-être davantage d’activités comme l’équitation adaptée, l’équi-handi, le loisir adapté, ou l’équicie ; dans ces domaines, des formations ouvertes à un public large existent. Nous vous invitons à consulter la Fédération Nationale Handicheval, le Fédération Française du Sport Adapté, la Fédération Française Handisport, et votre Comité Régional d’Equitation pour envisager ces autres possibilités.
Oui.
A condition bien entendu qu’ils correspondent à une formation s’approchant de la formation française correspondante, y compris s’il n’existe pas d’équivalence officielle entre les diplômes.
De même pour les diplômes équestres étrangers : ils doivent correspondre au niveau de cavalier autonome, c’est-à-dire celui habituellement atteint par les cavaliers ayant une pratique régulière pendant 5 ans.
Dans le cas où vous financez vous-même la formation, vous bénéficiez d’un tarif adapté.
Pour vous aider à financer cette formation, nous proposons sans frais :
– soit un échelonnement sur 12 mois (10% d’acompte à l’inscription puis 12 mensualités) ;
– soit un échelonnement sur 18 mois (20% d’acompte à l’inscription puis 18 mensualités).

Les principaux financements externes disponibles sont les financements par le biais de la formation professionnelle continue (plan de développement des compétences, CPF, CPF-TP, ou contrat de professionnalisation).
Ces 4 modes de financement (qui permettent de prendre en charge tout ou partie des frais pédagogiques, de déplacement, d’hébergement et de restauration, ainsi que la maintien de votre salaire pendant les temps de formation) dépendent de votre employeur, de votre secteur d’activité et des droits que vous avez cumulés dans le cadre de votre activité professionnelle. Pour connaître vos droits, les possibilités qui s’offrent à vous, et les démarches à réaliser, vous devez
contacter votre employeur (ou votre service du personnel) ou directement l’OPCO auquel vous cotisez (ANFH, OPCO-Santé, Fongecif, OCAPIAT, OPCO Cohésion Sociale, AFDAS, FIF-PL…).

Notez que nous acceptons les financements mixtes (une partie en financement personnel, une autre en financement externe), et les changements de mode de financement en cours de formation (si un financement externe vous était accordé après votre entrée en formation en autofinancement).
Les autres modes de financement (mécénat de fondation, aide à projet public ou privé, AGEFIPH, Pôle Emploi, subvention de collectivité territoriale…) sont beaucoup plus délicats à mobiliser, et dépendent autant des politiques des financeurs que vous sollicitez que de paramètres liés à votre profil et à votre situation particulière ; c’est pourquoi nous ne pouvons pas en tenir la liste ni vous assister dans ces recherches. Vos premiers interlocuteurs pour vous orienter sont les associations locales et les mairies.
Non.
Nos tarifs comprennent les frais pédagogiques et administratifs, autrement dit l’ensemble des frais correspondant à la formation à proprement parler.
Les autres frais annexes, notamment les frais d’hébergement, de déplacement et de restauration, sont à votre charge et à votre initiative.
En effet, nos formations accueillent des groupes de stagiaires réduits, venant de toute la France et de l’étranger, et ayant des exigences et possibilités variées. Vous êtes ainsi libre de choisir les modes de transport (voiture, train, avion), hébergement (camping, gîte, chambre d’hôte, hôtel…) et restauration (du sandwich fait maison au restaurant gastronomique) qui vous conviennent le mieux.
Pour vous aider à évaluer et budgétiser ces frais, nous pouvons vous fournir des listes indicatives de restaurants et d’hébergements à proximité de nos lieux de formation.
Notez enfin qu’une majorité de stagiaires utilise le système D afin de réduire au maximum ces frais annexes, par exemple à travers des locations de gîte en commun, l’hébergement amical de collègues de promotion, le partage de panier-repas le midi ou le covoiturage. Quelques semaines avant l’entrée en formation, nous transmettons à tous les stagiaires la liste des participants et leurs coordonnées pour vous permettre de vous organiser.

Oui, mais sous conditions.
S’ils attendent d’avoir validé leur DE en juin ou décembre pour postuler, la plupart des étudiants en dernière année de DE d’orthophonie, psychomotricité, éducateur spécialisé, ergothérapeute ou infirmier (notamment) perdent quasiment toute chance de pouvoir réaliser la formation d’équithérapeute dans l’année qui suit leur DE, car nous attribuons les places par ordre d’arrivée des candidatures.
La Commission d’admission accepte donc, à titre dérogatoire, d’attribuer des places sur liste principale à des étudiants de Catégorie 1 en dernière  année de DE, s’ils :

  • présentent un parcours d’études convainquant, laissant penser qu’ils ont toutes les chances de valider leur DE  au moins 3 mois avant l’entrée en formation ;
  • acceptent le risque de perdre leur place et de supporter les frais d’annulation de leur contrat de formation dans le cas où ils ne valideraient pas leur DE dans le délai accordé.

Vous devez, dans ce cas, joindre à votre dossier de candidature les éléments justifiant de la qualité de votre parcours de formation post-bac :

  • votre justificatif d’inscription en dernière année ;
  • vos relevés de notes (de tous les semestres depuis votre 1e année).

Non.
La Commission d’admission ne peut examiner que des dossiers complets, car elle prend ses décisions d’après les éléments de preuve présentés à travers  les pièces déposées.

Aucun dossier incomplet ne peut « réserver » de place, de façon à ne pas empêcher des candidats qui remplissent déjà tous les critères d’accéder à la formation.
Par ailleurs, pour éviter d’avoir à gérer des listes d’attentes de dossiers incomplets ou suspendus, et pour éviter de multiplier les traitements de dossiers : la Commission n’accepte d’examiner qu’1 seule candidature par candidat et par promotion, au moment où il est déposé.
Déposer un dossier incomplet ou un dossier « test » vous fait donc prendre le risque que votre candidature soit refusée, ce qui vous obligerait à devoir repostuler pour une promotion ultérieure.

Par exemple, si vous êtes seulement inscrit pour passer le Galop qui justifiera de votre niveau équestre, si vous n’avez pas encore fini le stage ou atteint le volume d’expérience minimum demandé, ou si vous êtes inscrit pour passer le PSC1 dans quelques jours : vous devez attendre d’obtenir un justificatif de validation correspondant pour déposer votre dossier.

Parce que nous croyons que l’expérience peut valoir un diplôme.
Dans notre vision, la compétence d’un équithérapeute s’évalue à travers sa maîtrise des fonctions liées au métier (il est en mesure d’accomplir les tâches réalisées par les équithérapeutes) et non à travers son statut au moment où il est entré en formation (il « est soignant » à la base). Nous refusons de réduire nos évaluations à un amalgame entre statut, rôle et fonction.
Ainsi, contrairement à beaucoup de nos confrères, nous pensons qu’on ne devrait pas devenir équithérapeute principalement en répondant à des critères de diplôme nécessaires pour pouvoir entrer en formation, mais qu’on devrait devenir équithérapeute en validant des critères de compétence correspondant au diplôme auquel prépare la formation. Comme dans toutes les branches professionnelles.
Mais nous disposons d’un temps de formation limité : aussi si nous souhaitons amener les futurs équithérapeutes jusqu’au niveau du diplôme, nous sommes obligés d’avoir des prérequis pour assurer un socle commun de compétences à leur entrée en formation.
Pour nous, ce socle commun se compose d’un facteur de profil professionnel (justifier de sa compétence pour exercer la relation d’aide), d’un facteur de niveau équestre (justifier d’une bonne connaissance du cheval), et d’un facteur de projet (savoir pourquoi on cherche à suivre cette formation).
Nous trouvons donc injuste que la plupart des autres formations annoncent refuser par principe des professionnels expérimentés dans la relation d’aide au motif qu’ils n’ont pas validé un diplôme médico-social accordant un titre ou une fonction définie par l’Etat (et alors même que les titres ou fonctions qualifiés d’admissibles n’ont parfois pas grand chose à voir avec l’équithérapie). Pourquoi est-ce qu’un dentiste ou qu’un audiologue sortant d’école pourraient devenir équithérapeutes, mais pas une monitrice d’équitation ayant passé 25 ans en institution spécialisée à enseigner à des enfants handicapés ?
Dans la mesure où, pour l’IFEq, c’est sans ambiguïté le fait d’obtenir le diplôme qui vaut qualification à exercer l’équithérapie, nous ne voyons pas sur quel principe nous devrions refuser à l’entrée des candidats expérimentés, sérieux et motivés.
D’autre part, quitte à ce qu’un professionnel non-diplômé s’installe en tant qu’équithérapeute (puisque rien ne l’en empêche), nous préférons encore qu’il soit formé.
Enfin, et quoi qu’on puisse lire ou entendre, toutes les autres formations, y compris celles qui s’annoncent comme étant les plus sélectives et intransigeantes sur les profils admissibles, acceptent en formation de façon dérogatoire des candidats jugés sérieux bien qu’ils n’aient pas tous les éléments du profil annoncé comme indispensable : nous assumons totalement la politique d’ouverture de nos formations aux publics expérimentés mais sans diplôme médico-social, et ne voyons aucune raison de ne pas la rendre publique.
Nous vous proposons ce tableau comparatif synthétique

A propos du métier d’équithérapeute

Beaucoup de facteurs entrent en jeu (mode d’exercice, expérience, région, nature des prestations, ratio du temps de travail consacré à l’équithérapie, domaine de spécialité, uni ou multiactivité, mode d’accès aux chevaux…). Et d’autant plus que moins de la moitié des équithérapeutes pratique l’équithérapie à temps complet.
Il est difficile de répondre très précisément à cette question.

Pour vous donner une idée, suivant les principaux modes d’exercice :

  • en salarié d’une institution médico-sociale : la plupart des équithérapeutes gagnent l’équivalent du salaire correspondant à leur métier initial (psychologue, éducateur, infirmier…) + un bonus de 5 à 15% correspondant à la valorisation de la spécificité de leur profil. Toutefois, ces bonus ne sont pas conventionnels et dépendent de l’intérêt de l’employeur à attirer un équithérapeute.
  • en salarié d’une petite association d’équithérapie : ces petites associations ont rarement de gros moyens. Un salaire net de 1500€ / mois en équivalent temps plein est déjà correct. Mais les postes à temps plein sont rares.
  • en indépendant : le tarif moyen pratiqué en France est d’environ 50€ / séance individuelle. Ce qui représente un revenu mensuel moyen d’environ 2000€ nets / mois pour un équivalent temps plein avec 10 à 14 semaines de congés. Toutefois, il y a des disparités très importantes entre les professionnels suivant leur expérience, leur région et les spécificités de leur activité.
Non.
Mais sous certaines conditions.
Le BPJEPS mention équitation (ou ses équivalents : BEES1, BEES2, DEJEPS, CQP EAE) est un diplôme obligatoire pour pratiquer à titre professionnel des activités physiques ou sportives : c’est le sésame permettant d’exercer le métier de moniteur. Tant que l’équithérapeute exerce uniquement une activité de soin, sans aucune ambiguïté (travail plutôt individuel sur des objectifs thérapeutiques, contexte médico-social, pas d’objectif de progression dans la pratique équestre, pas de travail comparable à de l’enseignement sportif…), il n’a pas besoin de diplôme sportif et ne contrevient pas au Code du Sport, y compris s’il propose du travail monté.
De la même façon qu’on ne demande pas aux médecins thermalistes d’être maîtres-nageurs, ni aux psychomotriciens de passer un BPJEPS en sports collectifs pour qu’ils puissent travailler avec un ballon.
Il ne faut donc pas confondre le média utilisé (le cheval) avec son usage (qui peut être sportif, thérapeutique, éducatif, pédagogique, social, alimentaire, agricole, artistique, financier…) :
toutes les activités qui mettent un public au contact avec un cheval ne correspondent pas à de l’enseignement sportif.
Toutefois, si l’activité de l’équithérapeute est, dans les faits et même occasionnellement ou partiellement, assimilable à un enseignement sportif (pratique de l’équitation), il doit obligatoirement disposer du BPJEPS mention équitation ou d’un équivalent.
Il faut également noter que les diplômes équestres non-équivalents au BPJEPS (BAPAAT, BAP, CQP ASA, ATE, GTE, Galops, Degrés…) ne confèrent aucune autonomie à leur possesseur pour enseigner l’équitation dans un cadre professionnel. Si l’activité de l’équithérapeute correspond même partiellement à une activité physique ou sportive, aucun de ces diplômes non-équivalents ne protègent le professionnel de sanctions pénales potentiellement sévères de la part de la DRJSCS.
Oui, mais nous vous le déconseillons formellement.
Le titre d’équithérapeute et la pratique de l’équithérapie ne sont pas réglementés : vous n’avez donc aucune obligation légale à remplir pour devenir équithérapeute.
En revanche, l’éthique et la déontologie du milieu médico-social interdisent à quiconque d’exercer une activité pour laquelle il ne serait pas qualifié. L’enjeu étant la santé du public.
Le parcours pour devenir équithérapeute est long et coûteux, c’est un fait. Mais c’est aussi en se formant qu’on développe les compétences qui nous permettent de garantir aux personnes qui font appel à nous que les soins que nous pratiquons sont de qualité.
C’est donc un enjeu pour notre filière entière que tous les équithérapeutes en exercice puissent garantir leurs compétences à travers, sinon un diplôme, au minimum un parcours de formation sérieux.
D’autre part, s’installer comme équithérapeute sans formation comporte un risque important pour la pérennité de l’activité à moyen terme, notamment du fait de la méconnaissance des divers aspects juridiques, fiscaux, sociaux, administratifs et culturels liés à l’équithérapie. Aspects pour lesquels les réseaux professionnels spécialisés n’apportent pas de soutien aux équithérapeutes non-qualifiés.
L’IFEq est principalement un organisme de formation continue.
Si vous souhaitez devenir formateur ou consultant pour nous, vous pouvez nous transmettre à tout moment votre CV accompagné d’une lettre de motivation explicitant vos domaines de compétence spécifiques, de préférence par email à contact@ifequitherapie.fr.
De même, contactez-nous si vous avez un projet de partenariat susceptible d’impliquer nos propres compétences.
En revanche, l’IFEq n’est pas un réseau d’équithérapeutes, ni une fédération, ni une association de praticiens, ni un syndicat professionnel : il n’est donc pas possible d’y adhérer.
Si vous souhaitez rejoindre d’autres équithérapeutes et praticiens de la médiation équine pour participer à la structuration de la filière, nous vous recommandons, à notre instar, d’adhérer au Syndicat Interprofessionnel des Praticiens de la Médiation Equine.

logo Syndicat

A propos des prises en charge en équithérapie

L’IFEq  mène lui-même une activité de prise en charge en équithérapie et en psychothérapie assistée par l’équidé (PAE) à Paris 12ème (bois de Vincennes) et à Saint-Germain-lès-Arpajon (91).
Toutefois, l’Institut est principalement un organisme de formation : nous ne sommes pas compétents pour vous orienter vers un confrère travaillant près de chez vous.
Et pour des raisons éthiques, nous ne pouvons pas transmettre les coordonnées de nos stagiaires en cours de formation.
Vous pourrez trouver des annuaires de professionnels de confiance auprès des réseaux, notamment ceux du Syndicat Interprofessionnel des Praticiens de la Médiation Equine, de la Société Française d’Equithérapie et de la Fédération Nationale de Thérapie avec le Cheval.
En libéral : non.
A moins que l’équithérapeute ne soit un médecin-psychiatre, un orthophoniste, ou un masseur-kinésithérapeute, qu’il soit consulté sur prescription, que la prise en charge en équithérapie se déroule dans le cadre de son exercice réglementé, et qu’il respecte les tarifs conventionnés. C’est donc extrèmement rare.
Toutefois, certaines aides publiques sont possibles, notamment l’AEEH, l’AES, la PCH et l’AAH dont le calcul peut prendre en compte les frais occasionnés par la prise en charge en équithérapie. Renseignez-vous auprès de votre Maison Départementale des Personnes Handicapées.
Certaines mutuelles peuvent également prendre en charge de quelques dizaines à quelques centaines d’euros par an correpondant à des activités thérapeutiques hors cadre réglementé (médecines douces, thérapies non-conventionnelles, psychothérapie…), parmi lesquelles l’équithérapie. Se sont souvent des mutuelles d’entreprise ou des assurances complémentaires santé relativement onéreuses.
En institution : oui.
Lorsque les séances d’équithérapie sont menées par une institution (que l’institution salarie un équithérapeute, ou qu’elle ait recourt à un équithérapeute indépendant), c’est bien évidemment l’institution qui finance les séances et non les familles des patients accueillis. Et la plupart des institutions sont financées en prix de journée, c’est-à-dire une somme fixe versée à l’institution par la sécurité sociale, par jour et par patient accueilli : dans ces cas, c’est donc bien la sécurité sociale qui finance indirectement l’équithérapie.
Toutefois, suivant leurs spécificités, les diverses institutions peuvent aussi financer leurs activités d’équithérapie par d’autres moyens : dotations de collectivités territoriales, subventions, dons, mécénat, revenus d’activités…

Oui.
Mais nous avons peu de places pour beaucoup de demandes.

Nous pouvons accueillir en stage, par ordre de priorité :

  • des stagiaires en formation d’équithérapeute, thérapeute avec le cheval ou équicien
  • des étudiants avancés en psychologie
  • des étudiants en psychomotricité ou éducation spécialisée
Nous ne pouvons proposer que des stages de type 1 journée par semaine sur une période longue (idéalement, de septembre à juin). Nous ne pouvons donc pas répondre aux demandes de stage à temps plein sur une période courte, du moins pas s’il s’agit d’un stage uniquement clinique. Enfin nous apprécions les stagiaires ayant un projet en lien avec l’équithérapie, que ce soit un projet professionnel ou un travail de recherche.

Vous pouvez déposer vos demandes de stage par email à contact@ifequitherapie.fr  en joignant votre CV (mentionnant votre expérience équestre) et une lettre de motivation personnalisée.
-> nous ne répondons pas aux demandes de stage envoyées en masse ou ne correspondant pas aux activités de l’IFEq

La meilleure période pour postuler se trouve entre juillet et septembre.
Non.
Pour des raisons déontologiques évidentes, nous ne pouvons pas permettre à des tiers de venir regarder ce qui se passe et se dit pour nos patients durant leur thérapie. De la même façon qu’aucun inconnu ne vous écoute ni vous observe lorsque vous consultez votre généraliste.
Pour autant, nous comprenons tout à fait que vous ayiez besoin de vous faire une image du métier d’équithérapeute avant de vous lancer dans une formation ou dans un projet professionnel. C’est pourquoi, dans la mesure de nos disponibilités, nous essayons de recevoir toutes les personnes qui nous sollicitent afin d’échanger sur notre métier, ce qui est le mieux que nous puissions faire avant de vous conseiller de rechercher un stage.